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Els'y dans la presse de l'Indépendant et La Dépêche !

  • Els'y on the road
  • 16 févr. 2024
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 15 juin

Touchée et honorée par les mots de Marie Dédéban.

En tant qu’artiste, il y a des moments qui marquent, et apprendre que la journaliste Marie Dédéban souhaitait m’interviewer pour écrire un article sur mon parcours et mon albumen a été un.

En découvrant son article, je suis touchée par la sensibilité avec laquelle elle a retranscrit mon histoire, depuis mes racines limouxines jusqu’à la naissance de mes premiers morceaux, Swivels et Realities. Elle a su décrire ce chemin, parfois sinueux, toujours guidé par l’élan du cœur, avec pour boussole le désir de partager, connecter et transmettre un instantané de vie, une peinture de l'humain, à travers les mots et la musique.

Un immense merci à elle pour ce bel article, à découvrir dans son intégralité ici sur l'Indépendant et la Dépêche.





Empreinte de symboles, parfois malgré elle, il a fallu neuf ans à cette limouxine établie à la capitale pour sortir son premier single Swivels. Une gestation dont la durée surprenante est notamment liée aux aléas du COVID. «J’ai rejoint une chorale Soul et R&B à Paris, raconte-t-elle. J’écrivais déjà des textes et la chef de chœur m’a suggéré de me lancer.» Au fil des rencontres, Els’y monte un premier duo guitare voix, avant de se tourner vers l’orchestration. « On s’est mis à créer jusqu’au confinement… Et puis certains musiciens ont choisi de changer de vie, il a donc fallu recréer une équipe. »

À force d’allers-retours et de travail, Swivels a finalement été dévoilé au public lors d’un Showcase intimiste le jour de l’anniversaire de la chanteuse. Une date, là encore, riche en symboles, comme pour confirmer cette nouvelle étape de vie. « Ces deux premiers morceaux sont un moyen pour moi d’aller au bout d’un rêve d’enfant.»


Un besoin de partage venu de limoux.

Une enfance passée au cœur de Limoux, ville fare en termes de cuivres qui imprègnent les deux premiers opus. «De Limoux, j’ai gardé cette notion de partage et de fête. D’ailleurs, un musicien Limouxin, Mathieu Espérou, m’a épaulée sur Realities. Dans cette ville, la musique est partout, Carnaval, Toques et Clochers, le Brass… C’est toujours avec beaucoup d’émotion que je reviens ici.»

Une envie de partage qui s’exprime jusqu’à la conception des clips. C’est en effet une campagne participative qui a permis de réaliser les deux vidéos illustrant les morceaux. «C’est d’ailleurs le public qui, lors du Showcase, a voté pour le morceau qu’il voulait voir en clip. On va d’ailleurs lancer une troisième campagne participative pour produire celui de cancan, chanson arrivée en troisième.»

Els’y aime «co-créer, associer des gens pour chanter, filmer ou danser.» Ces deux premiers singles en anglais, leur tonalité rappelant la nouvelle Orléans ou les Road trip à travers les États-Unis, n’ont pas fini de séduire les amateurs de musique cuivrée jazzy ou soul. Déjà, outre-Atlantique, le public semble conquis. Diffusé sur une plate-forme ouverte aux radios du monde entier, Swivels cartonne au Mexique, en Argentine, en Colombie ou encore au Brésil. Un succès que la chanteuse ne s’explique pour le moment pas, mais qui confirme sans doute qu’elle a bien fait de s’accrocher à ce rêve d’enfance.

Marie Dédéban







 
 
 

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